Vous êtes agriculteur indépendant à la recherche d'un lieu pour vous installer ?

 

Nous recherchons de nouveaux  paysans pour rejoindre les activités déjà installées.

 

Afin de diversifier nos productions, trouver des complémentarités entre nos activités… et partager notre passion avec de nouvelles personnes motivées, nous envisageons d’accueillir les activités suivantes sur les terres encore disponibles :

 

1)    Sur environ 10 hectares de terres fertiles et irrigables en fonds de vallée, avec des surfaces de bâti disponibles :

 

-  Une activité d’élevage de volaille chair et œuf - conjointement à une activité d’arboriculture fruitière (élevage agroforestier).

 

-  Un atelier de transformation de fruits, petits fruits et légumes.

 

-  La culture de plantes aromatiques et médicinales

 

 

 

2)    Sur des terres non irrigables, en coteaux et plateau (10 à 15 HA) :

 

-  Arboriculture en fruits à coque (noisetiers, amandiers) et figuiers ;

 

- ou culture spécialisée en sec pour de la valorisation directe  (Pois-chiche, cameline, chanvre...).

 

Ces terres pourront également servir à fertiliser les surfaces maraichères actuelles.

 

 

 

3)    Une ou plusieurs activités artisanales pouvant s’intégrer dans un projet agroécologique (boulangerie, vannerie, ébénisterie, artisanat d'art...).

 

 

Nous sommes bien-sûr ouverts à tout autre projet agricole compatible avec nos valeurs et les caractéristiques de la ferme (voir notre charte sur notre site Internet).

 

 

Nous cherchons des personnes ayant déjà une certaine expérience dans leur domaine, avec un projet abouti et viable économiquement.

 

 

Les paysans de la ferme sont indépendants économiquement et juridiquement (bail rural environnemental). Ils s’entraident et mutualisent ce qu’ils souhaitent.

 

 

Vous êtes intéressés ?

 

Contactez nous :

 

Patrick ADDA

patrickadda@free.fr

 

N'hésitez pas à nous appeler pour discuter ensemble des conditions générales ou de points précis : 06 72 34 70 11

 

Vous pouvez également nous envoyer un projet écrit.

 

 

Un partenariat à long terme

Une étape clef du développement du projet Canopée est le choix de candidats à l’installation.

Les projets agricoles sont étudiés dans le cadre des 14 principes énoncés précédemment.

L’enjeu majeur est de créer un cadre relationnel et contractuel qui permette aux candidats à l’installation de développer leurs projets agricoles avec une grande motivation et une vision de long terme sur des terres qui sont mises à leur disposition. En d’autres termes, il convient de trouver des accords stimulants pour que le porteur de projet agisse avec autant de motivation que s’il était propriétaire du foncier. Il pourra d'ailleurs le devenir...d'une certaine façon.

Les terres nécessaires à chaque projet sont mises à disposition de l’agriculteur au moyen d’un bail rural assorti de clauses environnementales ou, à défaut, d'un commodat (prêt de terre sans contrepartie financière) avec possibilité, pour les projets pérennes, d’une participation dans la société foncière après une période d'agrément mutuel.

Les agriculteurs ont un véritable pouvoir dans toutes les décisions stratégiques agricoles.

 

Des surfaces de bâtiments sont attribuées et louées en fonction des besoins de chaque porteur de projet. Le prix de la location intègrera l’ensemble des frais imputables aux bâtiments.

 

Les porteurs de projet seront accompagnés et soutenus jusqu’à leur installation pleine et entière. L’association Canopée assurera également un accompagnement des agriculteurs.

 

"Des fermes avec des arbres"

« C’est la forêt qui joue le rôle principal dans la formation des sols fertiles. La majorité des terres les plus fertiles vouées à l’agriculture sont d’origine forestière. Pourquoi ne pas nous référer au modèle forestier qui nous a donné des sols agricoles fertiles ? »
Gilles Lemieux et Diane Germain - 2001

 

« La Nature a horreur du vide. Lorsque nous plantons en ligne, nous générons entre chaque rang un petit désert.
L’existence de ces déserts entre les rangs constitue l’une des raisons majeures pour lesquelles l’agriculture chimique tout comme l’agriculture biologique épuisent les sols. »
John Jeavons - 1998