Amandine - Les Plantes Buissonnières

Je suis arrivée à la ferme Canopée en octobre 2020. Je cultive des plantes aromatiques et médicinales sur 3000m². Environ 2500m² de plantes méditerranéennes : thym, romarin, hélychrise, lavande, lavandin, sarriette, origan, et 500m² de plantes comme la menthe, l'angélique, l'agastache, l'absinthe, mais aussi le calendula, le millepertuis, l'achillée, et bien d'autres.
J'aime les bonnes odeurs et la cuisine, et je fais donc des sirops, des vins apéritifs aux plantes, des sels aux herbes et prochainement des huiles essentielles.
Une partie de mon activité consiste à faire de la cueillette directement dans les zones "sauvages" de la ferme, notamment les sous-bois et les haies : pour les orties, les jeunes pousses de prunellier (que je mets à macérer dans le vin), le sureau, les pâquerettes...
J'ai toujours été dans des associations et des collectifs, et m'installer seule n'avait donc pas de sens. C'est pourquoi travailler à côté des autres paysans de la ferme est très enrichissant. Comme eux, mes produits sont certifiés Agriculture Biologique, et je travaille dans le respect du sol et du vivant.

 

Je vends mes produits à la ferme, les mercredi, vendredi et samedi.

Egalement à la biocoop de Pavie et au magasin de producteurs l'Accent Local à Mauvezin.

Vous pouvez aussi les commander via l'association Lecabas et les récupérer à Auch au café associatif "L'Abri des possibles" le vendredi après-midi.

 Si vous souhaitez me contacter : amandeconinck@wanadoo.fr

"Des fermes avec des arbres"

« C’est la forêt qui joue le rôle principal dans la formation des sols fertiles. La majorité des terres les plus fertiles vouées à l’agriculture sont d’origine forestière. Pourquoi ne pas nous référer au modèle forestier qui nous a donné des sols agricoles fertiles ? »
Gilles Lemieux et Diane Germain - 2001

 

« La Nature a horreur du vide. Lorsque nous plantons en ligne, nous générons entre chaque rang un petit désert.
L’existence de ces déserts entre les rangs constitue l’une des raisons majeures pour lesquelles l’agriculture chimique tout comme l’agriculture biologique épuisent les sols. »
John Jeavons - 1998